[Privé] Formation de LARA SCOTT.

- Mon général ! Articula O’neil d’une manière théâtrale. Peut-être pourriez-vous user des ressources indéniables et ô combien élevée du SGC pour entrainer ces recrues…Mais pas SG1 !

- Jack ! Ces gens iront dans la galaxie de Pégase ! Le Pentagone a insisté sur le fait qu’ils reçoivent le meilleur entrainement possible et le président lui-même a ordonné que les meilleurs hommes du SGC participe à ce programme de formation…

Les mains dans les poches, O’neil considéra d’un œil ennuyé l’énorme pile de dossiers qui trônait sur la table. Une paperasse hautement soporifique qu’il devait emporter et…Etudier…

- Tout ça parce que je n’ai pas voté pour ce charlot…

Le général retint son rire, la situation demandait de la concentration. Partager l’humour d’O’Neil ne ferait que rendre la manœuvre plus difficile.

- Quelques jours de votre temps Jack, ce n’est pas la mer à boire !

L’homme se pinça les lèvres. Lentement, il prit le dossier du haut, l’ouvrit, haussa un sourcil et le referma aussitôt.

- Indigeste…
- Pourtant l’ordre vient de là-haut…Ne me forcez pas à vous sortir le jeu de la hiérarchie…

Cédant brusquement, puisque de toute façon on ne lui laissait pas d’autre alternative, le militaire s’empara des dossiers et se dirigea vers la porte.

- Bien…Mais n’oubliez pas que vous me devez trente dollars général…
- Il y a erreur Jack, c’est vous qui avez perdu ! Vous êtes mon débiteur…
- Ah…Si vous les dites…

Plus tard, dans la cafétéria.

Lorsque Teal’c pénétra dans le réfectoire et qu’il découvrit O’neil devant l’énorme tas de dossiers, il s’installa devant lui et inclina la tête de manière respectueuse. Bien sûr, le chef dû tendre la tête pour apercevoir le Jaffa par-dessus la montagne de vivre qu’il avait entassé sur son plateau.

- Et avec cela, ce sera ? Questionna-t-il d’un air de défi.

Teal’c leva, comme à l’accoutumée, son sourcil puis fixa les candidatures.

- Serait-ce vos nouveaux guerriers ?
- Guerriers je ne sais pas. Le premier est une femme…J’en suis à la deuxième ligne.
- Et depuis quand possédez-vous ces manuscrits ?
- Des dossiers Teal’c ! Des dossiers ! Rectifia l’homme d’un ton las. Heu…Je dirais quelques heures…

Citation :

HRP :

Bonjour Lara, heureux de faire ta connaissance.
Comme tu le vois, ta formation militaire commence à partir de ce post. Mon article a eu pour but de faire une petite introduction.

A présent, tu seras étudiée sous toutes les coutures. J'examinerai ta façon de répondre, si tu es soignée dans ta rédaction, si tu ne fais pas de fautes, si tu décris bien etc...

Tu recevras régulièrement des directives de ma part où d'un MDJ afin d'évoluer dans cette formation. Aussi, je te conseille de suivre comme tu le pourras les détails qui te seront donnés. N'hésite pas à demander des informations supplémentaires via MP si tu en ressens le besoin.

Pour ton premier article, Lara doit se rendre dans un bois à l'écart de la civilisation. A priori, rien ne pourrait te faire penser qu'il y ait un centre d'entrainement et pourquoi il semble si loin du SGC. Ton premier objectif sera de me montrer comment tu te débrouilles dans le RP en posant un décors, seulement avec les quelques mots que je t'ai donné.
Cet article doit comporter un nombre raisonnable de ligne, être facilement compréhensible et être construit correctement. C'est ton premier exercice, je te souhaite d'apprécier pleinement l'échange RP que nous allons commencer.

Adossé sur le capot de la jeep, le militaire attendait, le visage peinturluré de noir. Les roues de l’engin s’étaient enfoncées aussi profondément que ses pieds dans la boue du petit chemin. L’humidité environnante, la morsure d’un froid tenace, prouvait qu’il avait plu quelques heures plus tôt. Observant silencieusement le bois, l’homme ajusta la bretelle de son fusil M1, une relique de la guerre qu’il affectionnait, puis se déplaça pour se réchauffer un peu. Avec énergie, il se frictionna les mains, par-dessus le cuir de ses gants, puis porta le tout à sa bouche pour souffler un petit nuage blanc qui se dispersa rapidement. Le bois semblait sombre, le feuillage encore dense masquant une large partie des rayons lumineux, ce qui permettait de comprendre pourquoi il faisait aussi froid ici. Ce n’est que ce simple chemin de boue qui séparait la forêt en deux, seul signe d’une occupation humaine.
Cette étrange humidité, associé à un silence oppressant et l’absence de vent, rendait ces lieux mystérieux, comme parfaitement détaché de la réalité, issu de songe que l’homme moyen ne parvenait probablement pas à atteindre. En réalité, cette hypothèse avait le droit d’être imaginée. Avoir froid en automne, dans un endroit sombre où les feuilles n’étaient pas tombées, il y avait de quoi s’inquiéter.

Alors qu’il se demandait combien de temps il devrait attendre encore, Aknaïl aperçut une silhouette au loin. Celle-ci se précisait au fur et à mesure, grandissant pour dévoiler une femme équipé de son paquetage et d’une arme. Il n’y avait plus de doute.
Démarrant la jeep, le soldat appuya sur l’embrayage puis accéléra. D’abords gémissant de paresse, le véhicule abdiqua et avança lentement après avoir patiner dans le bourbier. Avec lenteur, il se porta jusqu’au niveau de la recrue puis s’arrêta.

- Lara Scott je suppose…Je dois vous conduire dans le camp, installez-vous…

La jeep s’enfonça plus profondément dans cette forêt qui n’avait rien de naturelle. Quelque part, Lara Scott se sentit oppressée, comme si quelque chose ne tournait pas rond.
Devant le mutisme du conducteur, celui-ci étant surement tenu au secret, la jeune femme fût surement obligée de se divertir en admirant le paysage. Ce n'est qu’une dizaine de minutes plus tard qu’ils pénétrèrent dans le camp, passant devant un poste de garde vide, entouré de sac de sable et dont la pancarte annonçait d’une sobriété étonnante : « Jungle Hilder ».

Pour un temps d’automne, l’intérieur des installations semblaient avoir été ravagée par le mauvais temps. Les braquements de métal étaient crevés par des impacts de balles, arrachés par des grands coups de vents. Les portes étaient sorties de leurs gonds, manquaient littéralement pour d’autres, sans compter les innombrables déchet qui jonchaient le sol.
La jeep poursuivit son chemin, pénétrant sur un terrain plat assez spacieux. Une petite pente mena jusqu’à un poste couvert de barbelés et de plaque de bois d’une mauvaise qualité. En s’approchant, on aurait pu apercevoir qu’elles servaient à définir une zone d’occupation pour un terrain de tir. Des tables avaient été disposées sur des traineaux branlants, vieux et moisi. Seuls les armes, de différents types, semblaient y avoir été déposée récemment.

Lorsqu’il s’arrêta, Aknaïl mena la jeune femme vers cette installation, là où patientait sagement sous un auvent de fortune un officier bien connu.

Citation :

HRP :

Bonsoir Lara.

Comme tu peux le constater, je représente ta toute première leçon. Je tiens tout d’abords à te féliciter pour avoir su poser le décors.
Dorénavant, les Rps de missions et d’entrainements seront animés par un maitre de jeu et des PNJs dans le but de vous donner davantage de surprises, d’entrain et de nouvelles possibilités. Comme tu as pu le constater sur mon texte, j’ai le droit de faire jouer ton personnage. A ce stade, il est nécessaire de bien comprendre les termes utilisés.

Par exemple, j’ai raconté que le soldat te menait au camp, c‘est une obligation afin d‘éviter une probable dispersion. En revanche, puisque mes écrits peuvent influencer voir modifier ce qu’aurait dû être les réactions de Lara, j’ai écris « la jeune femme fût surement obligée de se divertir en admirant le paysage. » au lieu de « Pour occuper le temps, la jeune femme admira le paysage ». Ainsi je laisse le doute quant à ce que tu as fait, te laissant la possibilité pour ton prochain article de revenir dessus et de porter la correction.

Quand je poste en tant que MDJ, mon intervention aura généralement pour but de vous donner de nouvelles informations. Que ce soit en réponse à une situation donnée, l’évolution selon votre réaction, il vous convient de bien analyser ce que j’ai marqué pour pouvoir suivre. Ce qui signifie que vous n’êtes plus obliger de devoir inventer vous-même le chemin de votre personnage. Vous décrirez ses actions et recevrez les conséquences en retour, ce qui vous offrira la surprise de la découverte.

Dans le cas présent, on vous mène à un officier, ce qui indique qu’il postera surement avant vous. Vous n’êtes donc pas libre de vous balader dans le reste de la base mais pouvez faire autant de description que vous souhaitez, tant que cela ne remplace pas mes indications d’origine.

Débutant en tant que MDJ, n’hésitez surtout pas à me faire des remarques ou demander plus d’éclaircissement si vous ne me comprenez pas.

Je vous souhaite un bon jeu.

P.S : Sauf erreur, rien n'est laissé au hasard. Vous avoir décrit comme oppréssé est un indice sur l'endroit où vous vous trouvez, ce qui peut vous permettre d'envisager ce qui peut se produire.

- Lara Scott ?

O’neil fît une pause.

- Vous êtes plus petite que dans mes souvenirs…

Laissant un nouvelle fois le silence s’installer, l’homme sonda son élève puis, les mains enfoncés dans les poches, regarda la table croulant sous les armes.

- Bon, nous allons commencer. Déjà, vous aller me faire un petit exposé. Je veux que vous me disiez ce qu’est une équipe SG, pourquoi est-elle composée de cinq personnes au lieu d’une bonne vingtaine. Entre autre, je veux connaitre votre ressentit sur notre mission générale.

Alors ?

O’neil hocha négativement la tête. Visiblement, les instructeurs avaient encore oublié l’essentiel…

- Il n’y a pas de nombre fixe dans une équipe SG. Cependant, si nous sommes aussi peu, c’est parce que nous composons un commando. Il est très difficile de capturer cinq personnes bien entrainées, nous faisons beaucoup de dégât chez l’ennemi de cette manière.
N’oubliez pas également que ce sont principalement des missions d’exploration. Lors de prises de contact avec des peuples, la présence de cinq membres d’équipe inquiètent beaucoup moins qu’une vingtaine.

Jack sortit les mains de ses poches et reprit d’un ton beaucoup plus sérieux.

- Une équipe SG est obligatoirement composé d’un leader. A cela se rajoute un scientifique pour faire ses tour de passe-passe bien utile, à l’aide de gadgets hors de prix ; Un archéologue ou diplomate afin de nous faire bien voir des civilisations alien ou savoir où l’on met les pieds et, parfois, un médecin nous accompagne quand ça risque de chauffer…

Il fît une pause et reprit, la fixant droit dans les yeux afin d’insister sur l’importance de ses dires :

- Les militaires composent le bras armé d’une équipe. Lorsque vous aurez votre diplôme d’aptitude, votre objectif premier sera toujours - Et j’insiste une fois de plus : Toujours ! - de protéger et maintenir le danger à l’écart de vos collègues. Les scientifiques, médecin ou archéologue ne posent pas le pied sur une planète pour se battre. Ils sont armés, moins bien que nous, pour répondre à toute menace éventuelle mais ce sera à vous qu’il reviendra la charge de protection.
Vous m’avez comprit ? ... Ah ! Et c'est "Mon colonel", oublier la hiérarchie est trés mal vu dans le coin...

Soldat ! Nota le colonel sur un ton d’ennui. Une certaine partie de nos frères d’armes se sont fait avoir sur des erreurs de débutant. Se rappeler les bases ne fait pas de mal.

L’homme fît une pause et présenta les armes devant lui.

Bien, nous passons à l’armement de base d’un soldat. Vous devez savoir que celui-ci varie évidement en fonction de la mission mais également selon la spécialité du militaire. Un homme entrainé aux armes de proximité n’emportera pas une mitrailleuse lourde…
Chaque membre d’équipe, qu’il soit militaire ou non, emporte une arme de poing. Nous utilisons principalement des M9, l’abréviation couramment utilisé des Berretas. Une arme de poing ne s’utilise que lorsque votre ennemi se trouve à une distance relativement proche de vous ou si votre arme principale est enrayée voir à court de munition.



Les M9 ont une capacité de quinze projectiles 9mm parabellum, il est important de le noter. Vous pouvez emporter entre trois à cinq chargeurs selon la disposition de votre équipement. N’oubliez pas de bien gérer le port de vos armes. Par exemple, lorsque vous vous retrouvez à une distance extrêmement proche de l’adversaire, vous aurez plus de chance d’abattre votre ennemi avec votre arme de poing que votre pistolet mitrailleur devenu trop encombrant.

Chaque arme dispose d’un sélecteur de tir. Ici, vous pouvez uniquement verrouiller ou déverrouiller l’arme. Je vous conseille de toujours les laisser sur sécurité afin d’éviter les accidents.

Reprenant son souffle, O’neil vérifia qu’elle avait comprit puis passa au suivant.



Voici à présent l’arme couramment utilisé dans les équipes SG, le MP5. Ce pistolet mitrailleur est idéal sur moyenne et longue portée grâce à sa stabilité et sa précision. Néanmoins, il dispose d’une faible puissance. Cette arme utilise des munitions 9mm parabellum, ce qui signifie que si vous êtes à court de munitions, vous pouvez utiliser les munitions de vos chargeurs d’armes de poings au profit de votre arme principale. Tout est une affaire de gestion.
Vous remarquerez que vous pouvez adapter pas mal de gadget fort utile sur le MP5, comme le coupleur de chargeur qui permet de recharger plus rapidement, une lampe et une lunette de visée. Il existe deux types de chargeurs, un moyen de quinze coups et un grand, courbe, de trente coups. Là encore, il faut choisir judicieusement. Inutile d’emporter trop de munition, ce qui vous ralentira fortement. Plus vous serez lent, plus vous vous mettrez, vous et vos camarades, en danger. Le MP5 dispose d’un sélecteur de tir en mode sécurité, coup par coup, rafale de trois coups et tir automatique. Pour les soldats spécialisé dans les manœuvres discrète, il est possible d’y adapter un silencieux et une visée laser. (Mais pas en plus des options déjà présente).

L’homme fixa la jeune femme.

C’est entendu ?

Le colonel passa en revue les armes qu'elle devrait utiliser lors de ses futures mission au sein d'une équipe SG. Ses explications étaient bien détaillées et Lara n'avait aucune difficulté à comprendre et à retenir ses conseils ou ses indications.
Bien gérer ses munitions pour éviter de se retrouver à cours en territoire très hostile. La remarque sur le verrouillage de l'arme fit sourire intérieurement Lara. Combien de militaire avait faillit se blesser ou blesser un camarade par oublie de ce petit geste ? C'était vraiment ridicule de se bousiller un membre à cause de cette erreur, et en plus c'était une perte de temps et une mise en danger du reste de l'équipe si le médecin se trouvait obligé de vous soigner en plein désert ( qu'il soit de sable, de cailloux ou de glace), c'est à dire à découvert.

O'Neil passa ensuite à l'arme principale, le fameux MP5, qui présentait un avantage considérable : même munitions que le Beretta. Il fallait juste bien calculer son nombre de cartouches afin de répartir au mieux les balles entre les deux armes.
Le MP5 offrait aussi à son utilisateur, le plaisir de pouvoir ajouter quelques gadgets suivent les mission ou les rôles au sein de l'équipe.

Une fine brise effleura le visage de la jeune femme et lui rappela qu'il fallait toujours prendre en compte les indications topographiques et se renseigner sur la météo si c'était possible. Le vent, la pluie, le sable ou la boue ; les cours d'eau, les forêts, les plaines ou les montagnes, étaient autant d'éléments à intégrer pour éviter de se retrouver piégé ou en difficulté, et ainsi adapter son matériel car l'ennemis avait l'avantage de connaitre le terrain. Alors autant prendre le plus de renseignements possible avant de traverser une porte des étoiles.

"J'ai parfaitement compris, mon colonel." Déclara-t-elle d'un ton monotone, même si elle apprenait de nouvelles choses.

Lara se demandait s'il allait la tester dans une épreuve réelle ou si tout cela n'était que de la théorie qu'elle devait bien intégrer.

A présent, voici l’arme couramment utilisée dans les unités d’expédition Atlantis. Le P90 est un pistolet mitrailleur semi-automatique (coup par coup) et automatique (rafale). Il est approvisionné par un chargeur particulier contenant 50 projectiles de calibre 5.7*28 mm. Celui-ci se loge sur le dessus de l’arme.
Vous remarquerez que les balles sont orientées de sorte qu’elles soient perpendiculaire au canon. Alors question : Comment font-elles pour passer dans la chambre ?

O’neil tourna l’arme dans ses mains, s’empara d’un chargeur et lui montra son extrémité.

Cet embout circulaire permet la rotation d’une balle pour faire en sorte qu’elle s’oriente dans la bonne direction avant de pénétrer dans la chambre. De cette manière, le chargeur se vide d’avant en arrière au fur et à mesure que vous tirez. Un point particulièrement intéressant, l’éjection des douilles se fait par le bas, ce qui empêche de blesser votre camarade de brûlure en cas de contact rapproché.
La culasse et le sélecteur de tir sont des deux cotés du P90, de façon à pouvoir être utilisé autant pour un gaucher que pour un droitier.

Le colonel reposa l’arme et passa au suivant.



Les fusils d’assauts servent à l’attaque. Contrairement aux pistolets mitrailleurs possédant une meilleure puissance d’arrêt, les M4 que voici ont été conçu pour la stabilité et la précision du tir.
Les M4 sont des M16 modifiés pour convenir au terrain. Plus petit et maniable, ils sont généralement utiles pour les soldats spécialisé dans les frappes de précisions. De très nombreux accessoires peuvent y être adapté comme un lance-grenade, un fusil à pompe à faible capacité, une poignée de maintient et j’en passe…



Le M4 utilise des chargeurs de taille petite (30 coups), moyenne (50 coups), et grande (100 coups - Extrêmement encombrant). Les munitions utilisées sont du calibre 5.56 mm OTAN ou 6.8 mm Remington SPC.

Nous continuons ?

(PS : Le garde main sert à éviter de se brûler et protéger les mains de l'utilisateur car le canon chauffe trés vite)

Nous allons à présent parler des différentes grenades, des explosifs de destructions et de la spécialisation d’un soldat.
Commençons…

O’neil lui présenta quatre type de grenades différentes.





Voici les flash bangs. Cet explosif mêle un concentré de phosphore et un engrenage qui rend son déclenchement terriblement bruyant et lumineux. Les sons, très violents, agressent les tympans de l’adversaire tandis que l’inflammation du phosphore produit une lumière aveuglante. Son rayon d’action est assez petit, il nécessite le port de lunette polarisée et d’oreillettes. Si ce n’est pas le cas, vous serez également touché par les effets incapacitant.

Ces grenades ne s’utilisent jamais en environnement extérieur, ni lors d’une infiltration car indiscret. Ils sont, par contre, très utile lors d’une attaque surprise ou pour couvrir une fuite. Ne restez jamais proche du point d’éclatement d’un flash bang car le phosphore pourrait vous bruler la peau et voir la rétine de vos yeux si vous ne portez pas vos lunettes. Après l’avoir dégoupillée, la sureté enlevée, l’explosif se déclenche en seulement trois secondes. Inutile d’attendre pour vérifier son efficacité.

Le colonel lui présenta une grenade ronde.





Cette grenade dite « lisse » est un explosif offensif. Contrairement aux préjugés, elle ne répand pas d’éclats en se déclenchant. En réalité, la détonation créé une puissante onde de choc qui renverse tout ennemi dans son champ d’action. Elle sert généralement à déloger les forces ennemies d’un point stratégique. Bien évidement, plus la victime se trouve proche du point d’explosion, plus les blessures seront importantes. Généralement, une grenade offensive brise les os et déboite les articulations. La goupille retirée et la sureté désengagée, elle explosera dans 6 secondes. Ne vous empressez pas de la lancer si vous ne voulez pas qu’on vous la renvoie dans la figure.

Il passa à la suivante.





Cette grenade quadrillée dit « ananas » est une grenade défensive, la plus meurtrière des celles que je vous présente. Elle fonctionne exactement pareille qu’une grenade lisse mais envoie une gerbe d’éclat sur un rayon de dix mètres. Veillez à vous être réfugiée avant l’explosion sinon vous y gouterez également.

O’neil reposa les engins puis lui montra quatre fumigènes.





Ceux-là servent à signaler votre position pour les renforts. Il y en a un rouge, un jaune et un vert.
Le rouge indique que vous êtes sous le feu et que l’équipe de renfort, à pied ou dans les airs, risquent d’être prise sous le feu.
La jaune indique un danger potentiel mais non visible. Il se peux que l’équipe essuie des tirs en approchant.
La verte, elle, signifie tout simplement que la zone est sécurisée.
Enfin, la dernière est un fumigène blanc pour vous dissimuler de l’ennemi lorsque vous êtes en mouvement. Il existe également le même modèle mais en lacrymogène. Ne vous trompez pas.





Pour finir, voici des blocs de C4. Ils ne se déclenchent que lorsqu’un courant électrique les traversent. Prenez donc des minuteurs adaptés. Un bloc suffit à détruire une porte blindée. Cet explosif est extrêmement utile pour le sabotage mais il demeure encombrant. Faites attention d’en porter autant sur vous que dans votre sac car, parfois, vous n’aurez pas le temps de fouiller pour les poser.





Nous terminons sur des mines claymores. Extrêmement lourdes et encombrantes, elles sont très utiles pour miner le terrain et infliger des dégâts considérables à l’ennemi. Elle se déclenche soit pas détecteur de proximité (mouvement), par détonateur manuel (clic) ou par fil (une jambe tire le fil et boum).